Cette semaine dans notre série d’interviews, on accueille un studio bien particulier: Tchagata Games, les sales gosses de la scène romande. Leur premier jeu Nandeyanen?! qui nous occupe aujourd’hui l’illustre bien. Sorti à la fin de l’été sur une plateforme inaccessible en Suisse, il a été écrit en japonais avant d’être traduit en français et appartient à un genre quasi inexistant dans nos contrées. Si depuis quelques semaines le Suisse moyen peut en profiter sur son PC, il n’en reste pas moins que cette technique commerciale ressemble à un suicide. Pourquoi? Comment? Avec quel doigt? On a cuisiné Tchagata pour vous.
Bonne écoute!
LE JEU: Nandeyanen!?
LES GENS: Tchagata Games
GENRE: Shoot-em-up au pays du soleil levant.
SOMMAIRE:
5:12 | Cinq secondes dans le Coin = Questions en rafales, du coq à l’âne, hihan.
9:04 | Le Coinmencement = L’Histoire du studio, ses peurs, ses rêves, son signe astrologique.
30:14 | Au Coin du jeu = Décorticage du jeu, jusque dans ses reCoins les plus intimes.
1:07:57 | Le Coin du chalet = La scène Helvétique, regards, points de vue.
1:27:14 | Les Coins et les couleurs = Une question, pour de multiples réactions.
MOMENTS FORTS (liste non exhaustive):
33:47 | « C’est ce que pour rigoler d’ailleurs, on avait appelé pour rigoler avec Nicolas l’Epona System. […] le nom complet c’est l’Epona Fuck System. »
1:00:08 | « C’était une contrainte assez jusqu’au-boutiste, c’était de l’écrire d’abord en japonais et après de le traduire du japonais à l’anglais et du japonais en français. »
1:06:11 | « En parlant de plaisir, si on imagine que je suis la fée du plaisir […]. »
1:14:59 | « Et on a toujours été très impressionné de voir que dans la série de Guilty Gears il y a 3 Suisses, trois personnages suisses. »
LE PODCAST : mp3