Gamescom – Ubi Soft

UCDPiensUCDPiennes, bonjour! Cette année comme toutes les autres nous nous sommes rendu à la Gamescom, seulement cette fois, pris d’un altruisme nouveau, nous allons partager nos impressions avec vous, ceci à travers pas moins de beaucoup d’interviews exclusives avec Monsieur UCDP. Il est souvent désagréable, partial et excessivement enthousiaste mais son avis nous intéresse car c’est le seul que l’on a. En voiture Simone!

  • Bonjour Monsieur UCDP.
  • Bonjour la Suisse!
  • Vous sortez de votre visite d’Ubi Soft. Première question: avez-vous vu le mystérieux The Division?
  • Comme une stripteaseuse, à défaut de pouvoir toucher, j’ai pu contempler de près. Je serais de mauvaise fois de dire que je futs emporté dans un tourbillon d’excitation et de bonheur béat, mais je dois avouer que ça semblait plutôt consistant. En fait, il m’est apparu clairement que The Division n’est rien de moins que le Destiny d’Ubi. En gros, c’est un Hack & Slash croisé avec Ghost Recon, le côté militarofacho en moins. On retrouve certaines mécaniques de combat de Ghost Recon, comme le drone (ici piloté à l’iPad) ou la nécessité de synchroniser les assauts mais versant plus vers l’action que l’infiltration. Pour le côté Hack & Slash, ça distribue généreusement points d’XP et loot à chaque kill pour faire évoluer son personnage. A noter qu’il n’y a pas de classes de personnages. C’est limitant et sale, paraît-il.
  • Fort bien tout ça, mais il y a Kevin sur le chat qui demande si c’est joli?
  • C’est une question de goût. On va dire que ça crache du polygone violent, après faut aimer la direction artistique Ubi Soft. Personnellement, ça ne m’emporte point vers des sommets d’extase. Pour emprunter une expression fort populaire au sein de mon foyer, on va dire que « à défaut d’être WAOUH, c’est OK ».

  • On l’aura donc compris, concernant The Division c’est la tiéditude qui vous emporte. Peut-être que Heroes VII, série cher à votre coeur, vous l’a réchauffé?
  • Je vois que vous me connaissez bien mon cher. Effectivement la découverte de ce nouveau volet de la série Heroes of Might & Magic à suscité en moi moulte excitation. J’ai donc abordé cette présentation avec un enthousiasme à peine contenu. Ici aussi, mes doigts potelés à défaut d’une souris sont restés désespérément accroché à mon stylo. Ce qui, pour un jeu à peine annoncé est ma foi fort excusable. Ceci ne m’ayant pas empêché de relever la nature des changements apportés par cet opus. Vous connaissez Dragon Ball?
  • Euhhh oui…
  • Heroes VII, c’est pareil mais à sept. On prend les 7 épisodes, hop hop fusion qui garde le meilleur de chacun et tadaaaaaam! une nouvel épisode surpuissant. Ce qui veut dire pour les connaisseurs: retour des jolis écrans de villes évolutifs, une gestion des sorts à l’ancienne mais combats tactiques et graphismes nouvelle saveur. Pas flemmarde, l’équipe de développement (ces gens sont possédés par leur licence, leurs yeux brillent étrangement lorsqu’ils en parlent) a décidé d’adjoindre un bon sac de nouveautés. Les combats donnent maintenant plus d’importance au positionnement avec du « flank » et du « backstab » en veux-tu en voilà. La mise en scène est beaucoup plus dynamique grâce à une caméra quittant souvent son focus perché pour mettre en avant les événements importants et une carte proposant beaucoup plus d’éléments interactifs. Bref, ça s’annonce bien. Je suis jouasse.

  • Eh bien ça fleure bon l’objectivité tout ça, dites-moi.
  • L’objectivité, très peu pour moi mon cher. Ca vous tue de chercher quelque chose qui n’existe pas. Je me vautre donc avec joie dans la fange de ma subjectivité.
  • Que dire après ça, sinon vous remercier pour avoir pris le temps de partager vos impressions exclusives avec nous et vous donner rendez-vous pour les suivantes. A tout bientôt pour la suite Monsieur UCDP.
  • A bientôt la Suisse!