Chez un coin de Pixel, il arrive fréquemment qu’on ne soit pas d’accord avec le reste du monde. Il nous arrive même de pousser cette manie jusqu’à l’interne. Ce fut le cas pour Feist qui du coup se voit décortiquer au travers de deux perspectives différentes présentées en deux articles. Faîtes vos choix, rien ne vas plus.
Archives juillet, 2015
FEIST
J’ai rencontré Feist sur Internet. Ses faux airs de Limbo m’ont immédiatement interpellé. Dans un premier temps par la négative. J’en ai vu trop des comme lui: ils te montrent leurs graphismes en ombres chinoises et capitalisent sur la sensation agréable provoquée par le souvenir d’un autre jeu. Il a beau être suisse, mon radar à caca de taureau s’est enclenché. Comme toujours dans ce type d’histoires, c’est lors de notre rencontre « IRL » que j’ai finalement pu voir à qui j’avais affaire. Lire la suite
ÉPISODE #10: Hors-série estival de la mort qui tue.
Pour ce dixième épisode, j’ai vu les choses en grand, quantitativement parlant. Ce n’est donc pas 4 ou 5 jeux à découvrir, mais bel et bien 11. Vu la chaleur ambiante, je suis à peu prêt certain qu’il s’agira de la seule boîte de succulentes gâteries que vous serez à même d’embarquer sur votre transat sans que celle-ci ne se transforme instantanément en une informe flaque tiède qui colle sur les doigts.
The Witcher 3
Il m’est souvent difficile de comprendre pourquoi j’apprécie un jeu alors que les mots me manquent rarement pour cracher ma haine sur les derniers relents de l’industrie vidéoludique. Je suis bien tenté d’utiliser un terme évasif comme « game feel » pour évoquer mon ressenti positif, alors que je pourrais lister l’IA défaillante, le pathfinding aux fraises ou une interface à la rue pour démonter le premier vilain canard à passer entre mes mains. Lire la suite
Bilan des conférences E3 2015
Il y a des E3 joyeux, des E3 moroses, des E3 décevants, des E3 surprenants et rarement des E3 étranges. Cette années 2015 est apparemment sous un nouveau signe: l’E3 agaçant. Cette semaine du sommet vidéoludique mondial me démange comme un livre pas droit dans une bibliothèque. Tout semble avoir été rangé au mieux pour générer joie et félicité et pourtant de vilains détails tout moches génèrent chez moi une envie démesurée de tout casser. Lire la suite






